La tranchée des espoirs

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Une trêve s’instaure entre des soldats allemands et français près d’une ferme et une femme qui offre sa table. Cristiana Reali, Jorg Schnass., Juillet 2003. Trois enfants jouent au foot. Leur ballon s’envole dans les taillis, retombe et crève. Sous le ballon se trouvent une baïonnette, deux squelettes et un briquet ayant appartenu à un certain Pierre Delpeuch… Été 1918. Terrés dans leur tranchée, Delpeuch et ses compagnons ont perdu tout contact avec leur état-major. À une cinquantaine de mètres se tiennent des Allemands tout aussi désorientés…, Juin 1918. A la suite d’un bombardement, dans un bout de tranchée perdue, six soldats français, six poilus gavés d’horreur, sont coupés du reste du front. En face d’eux, six soldats allemands, eux aussi provisoirement coupés du reste de leur armée. Les deux tranchées sont distantes d’une cinquantaine de mètres. Entre les deux, un énorme obus de 450 s’est planté en terre sans exploser, et il va bien falloir le désamorcer. C’est alors le début d’une trêve entre les deux camps, malgré un lieutenant “va-t-en guerre” qui pense à ses médailles, malgré deux brutes qui rêvent de s’entretuer. Une trêve improbable qui prend peu à peu et comme à rebrousse-poil l’allure d’une fraternisation. Non loin de là, dans une ferme à moitié démolie par les obus, tout aussi folle et tout aussi paumée que les soldats, une femme attend son homme qu’elle refuse de croire mort au front. Entre ces rescapés, ces quelques morts en sursis, va se nouer, le temps d’une parenthèse, une histoire d’amitié, de fraternité et d’amour, comme un pied de nez à la guerre, comme l’affirmation dérisoire et tenace d’une irrépressible espérance en l’homme., Juin 1918. A la suite d’un bombardement, dans un bout de tranchée, six soldats français sont coupés du reste du front. En face d’eux, à une cinquantaine de mètres, six soldats allemands, eux aussi provisoirement coupés du reste de leur armée. En trois jours d’apaisement, ils vont apprendre à se connaître, puis à faire naître un mouvement de fraternité, Juin 1918. A la suite d’un bombardement, dans un bout de tranchée perdue, six soldats français, six poilus gavés d’horreur, sont coupés du reste du front. En face d’eux, six soldats allemands, eux aussi provisoirement coupés du reste de leur armée. Les deux tranchées sont distantes d’une cinquantaine de mètres. Entre les deux, un énorme obus de 450 s’est planté en terre sans exploser, et il va bien falloir le désamorcer. C’est alors le début d’une trêve entre les deux camps, malgré un lieutenant va-t-en guerre qui pense à ses médailles, malgré deux brutes qui rêvent de s’entretuer. Une trêve improbable qui prend peu à peu et comme à rebrousse-poil l’allure d’une fraternisation. Non loin de là, dans une ferme à moitié démolie par les obus, tout aussi folle et tout aussi paumée que les soldats, une femme attend son homme qu’elle refuse de croire mort au front. Entre ces rescapés, ces quelques morts en sursis, va se nouer, le temps d’une parenthèse, une histoire d’amitié, de fraternité et d’amour, comme un pied de nez à la guerre, comme l’affirmation dérisoire et tenace d’une irrépressible espérance en l’homme., Juin 1918. A la suite d’un bombardement, dans un bout de tranchée perdue, six soldats français, six poilus gavés d’horreurs, sont coupés du reste du front. En face d’eux, six soldats allemands, eux aussi provisoirement coupés du reste de leur armée. Les deux tranchées sont distantes d’une cinquantaine de mètres. Entre les deux, un énorme obus s’est planté en terre sans exploser, et il va bien falloir le désamorcer., 1918 – déjà quatre années de guerre. Deux tranchées distantes de cinquante mètres, six soldats allemands, face à face, dans ce no man’s land de fer et de boue où les seuls réflexes sont ceux de tuer et de survivre. Un seul point d’eau pour tous, un obus qu’on désamorce ensemble, des chefs absents, une ferme abandonnée et une femme qui attend. Ces douze hommes en guerre vont pouvoir se rencontrer, se regarder et pourquoi pas fraterniser le temps d’une trève. Le temps de retrouver les gestes du quotidien : se laver, faire à manger, jouer au foot, faire de la musique… Le temps de se retrouver comme à la maison autour d’une femme qui rappelle celle qu’on a laissée, épouse, mère ou soeur, celle qui vous prépare un repas, qui vous parle, qui danse…, 1918, la guerre touche à sa fin mais eux ne le savent pas encore. Eux, ce sont six soldats français et six soldats allemands. Alors que les soldats allemands ont perdu leur chef, ils découvrent une ferme isolée. Une femme y vit seule. A-t-elle perdu la tête ? Qu’attend-elle ?