La Crim’ Ad Patres

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Un cadavre retrouvé dans une cabine téléphonique sans autre indice qu’un papier mentionnant «Batafrankel» et un nez de clown… ça commence mal pour la Crime. La victile enfin identifiée (un acteur, clown d’hôpital à ses heures), une double vie apparaît : derrière l’acteur se cache un cambrioleur, peut-être victime d’un comparse furieux. Mais bientôt une troisième vie émerge : l’homme est connu de ses victimes cambriolées comme confesseur à l’église Saint-Etienne de Passy ! Et c’est là que les choses se compliquent : car si l’on sait depuis longtemps que l’habit ne fait pas le moine, rien ne dit quels secrets se cachent sous la soutane., Un cadavre retrouvé dans une cabine téléphonique sans autre indice qu’un papier mentionnant “Batafrankel” et un nez de clown… ça commence mal pour la Crime. La victime enfin identifiée (un acteur, clown d’hôpital à ses heures), une double vie apparaît : derrière l’acteur se cache un cambrioleur, peut-être victime d’un comparse furieux. Mais bientôt une troisième vie émerge : l’homme est connu de ses victimes cambriolées comme confesseur à l’église Saint-Étienne de Passy ! et c’est là que les choses se compliquent : car si l’on sait depuis longtemps que l’habit ne fait pas le moine, rien ne dit quels secrets se cachent sous la soutane., Un cadavre est retrouvé dans une cabine téléphonique sans autres indices qu’un papier mentionnant “Batafrankel” et un nez de clown… Départ d’enquête difficile pour la Crim’. La victime enfin identifiée (un acteur, clown d’hôpital à ses heures), une double vie apparaît : derrière l’acteur se cache un cambrioleur, peut-être victime d’un comparse furieux. Mais bientôt une troisième vie émerge : l’homme est reconnu par ses victimes cambriolées comme le confesseur de l’église Saint-Étienne de Passy ! Et c’est là que les choses se compliquent : car si l’on sait depuis longtemps que l’habit ne fait pas le moine, rien ne dit quels secrets se cachent sous la soutane., On vient de découvrir un cadavre dans une cabine téléphonique. Les indices se réduisent à un nez de clown et un papier portant l’inscription ” Batafrankel “. Après de longues recherches, la brigade parvient enfin à identifier la victime. Il s’agit d’un acteur, qui exerçait parfois ses talents de clown à l’hôpital. Derrière cette façade se cachait en fait une double vie. En effet, à ses talents comiques, l’homme ajoutait un don certain pour le cambriolage. Mais le plus curieux, c’est que ses victimes, de dignes vieilles dames du XVIème arrondissement, le reconnaissent comme leur confesseur., Un cadavre retrouvé dans une cabine téléphonique sans autre indice qu’un papier mentionnant « Batafrankel » et un nez de clown… Ça commence mal pour la Crim’. La victime enfin identifiée (un acteur, clown d’hôpital à ses heures), une double vie apparaît : derrière l’acteur se cache un cambrioleur, peut-être victime d’un comparse furieux. Mais bientôt une troisième vie émerge : l’homme est connu de ses victimes cambriolées (de vieilles dames du XVIe Arrondissement) comme confesseur à l’église Saint-Etienne-de-Passy ! Et c’est là que les choses se compliquent : car si l’on sait depuis longtemps que l’habit ne fait pas le moine, rien ne dit quels secrets se cachent sous la soutane…, Le cadavre d’un clown d’hôpital est retrouvé sans autre indice qu’un papier mentionnant “Batafrankel”. La Crim’ dévoile la double vie de l’acteur : il est aussi cambrioleur. Mais bientôt une troisième vie émerge. L’homme est aussi connu de ses victimes, de vieilles dames du XVIème arrondissement, comme confesseur à l’église Saint-Etienne de Passy !